Alors qu'Israël s'enlise dans une guerre sans but, les familles des prisonniers retenus à Gaza transforment leur douleur en colère. Elles accusent le Premier ministre Benjamin Netanyahu de saboter délibérément tout échange pour sauver son pouvoir. Les appels à l'action ont cédé la place à une condamnation ouverte : "Nos proches sont sacrifiés pour ses calculs politiques", clament-elles.
Les groupes de résistance palestiniens ont pourtant multiplié les ouvertures pour négocier. En vain. Netanyahu a préféré intensifier les bombardements sur Gaza - une escalade sans stratégie. Pire : la question des otages serait gérée en cercle fermé, avec l'implication controversée de son épouse Sarah, perçue comme une privatisation scandaleuse d'un drame national.
Les familles exigent des comptes : "La pression militaire ne fera que tuer nos enfants". Leur colère déborde dans les rues et les cérémonies officielles, où elles interpellent les dirigeants. Pour beaucoup, Netanyahu instrumentalise leurs proches comme monnaie d'échange, prolongeant une guerre devenue absurde.
Face à l'opposition grandissante (polls et protestations le confirment), le gouvernement ignore désormais le peuple et la souffrance des familles. Certaines se tournent vers Donald Trump, cherchant une pression extérieure. Pendant ce temps, la résistance palestinienne reste inflexible, gardant les prisonniers malgré les menaces, tandis que Netanyahu s'accroche au pouvoir sur une nation fracturée.
Source : Safa News