En l'espace d'une seule journée, l'occupation israélienne a mené quatre attaques meurtrières dans la bande de Gaza, prenant pour cible deux écoles abritant des familles déplacées, un marché animé et un restaurant populaire. Ces frappes ont fait des dizaines de morts et de blessés, ajoutant au bilan déjà effroyant d'un territoire assiégé où aucun endroit n'est épargné.
La dernière attaque a frappé un restaurant bondé où des familles cherchaient un moment de répit. Quelques heures plus tôt, deux écoles désignées comme refuges par l'ONU, abritant plus de 10 000 déplacés, étaient bombardées, transformant ces sanctuaires en scènes de carnage. Un marché rempli de civils à la recherche de nourriture a également été visé, confirmant une stratégie de terreur contre les lieux de vie ordinaires.
Ceci n'est pas un incident isolé. Depuis le début de la guerre, 235 abris ont été bombardés. Le schéma est clair : le ciblage répété des écoles, marchés et refuges révèle une volonté de maximiser les victimes civiles et d'instiller la terreur parmi une population déjà brisée par des mois de déplacement et de famine.
Face à ce massacre, la communauté internationale reste largement silencieuse. Pour les Palestiniens, ces attaques ne sont pas des dommages collatéraux, mais des actes calculés dans une campagne génocidaire. Les appels à la responsabilité internationale se multiplient, mais Gaza continue de saigner, protégée seulement par de vaines condamnations.
Source : Safa News