La crise humanitaire à Gaza atteint un point de non-retour. Des tonnes de nourriture pourrissent aux frontières fermées tandis que des enfants meurent de faim. Ce désastre orchestré par le blocus israélien frappe en premier lieu les plus vulnérables : les nouveau-nés dépérissent, les familles survivent sans repas pendant des jours.

Malgré l'aide disponible, les restrictions d'accès transforment délibérément la faim en instrument de domination. Les rapports médicaux se multiplient : décès par malnutrition, retards de croissance irréversibles, enfants trop faibles pour pleurer.

La communauté internationale reste sourde aux appels urgents. Chaque jour perdu aggrave les souffrances et condamne une génération entière. Sans ouverture immédiate des points de passage, Gaza subira une famine dont les séquelles persisteront pendant des décennies.