Les forces israéliennes ont intensifié leur assaut sur Gaza, déchaînant une vague de frappes meurtrières sur des zones densément peuplées, incluant des quartiers résidentiels, des hôpitaux et des camps de déplacés. En quelques heures à peine, plus de 250 Palestiniens ont été tués, des familles entières ensevelies sous les décombres. L’ampleur de la destruction, qui se déroule sous les yeux de la communauté internationale, a provoqué une nouvelle vague d’indignation à travers la région.

Les groupes palestiniens affirment que ces attaques escaladantes font partie d’une stratégie calculée pour briser, par une punition collective, la résistance du peuple de Gaza. Les bombardements incessants ciblent non seulement les civils en quête d’abri, mais aussi les blessés et les équipes médicales qui tentent de les soigner. Alors que le bilan ne cesse de s’alourdir, le sentiment d’abandon des Palestiniens grandit, face au silence des instances internationales incapables d’imposer ne serait-ce que les protections les plus élémentaires.

Les images qui émergent de Gaza dépeignent un tableau insoutenable : des enfants arrachés sans vie aux décombres, des morgues de fortune submergées, des familles rassemblant les restes de leurs proches dans des sacs en plastique. Cette souffrance n’est pas le fruit du chaos — elle est systématique, précise et délibérée.

Au milieu du carnage, les voix palestiniennes continuent d’exiger une intervention internationale, appelant les puissances mondiales et les alliés régionaux à mettre fin à ce qu’elles décrivent comme une guerre contre une population civile tout entière. D’heure en heure, l’appel de Gaza pour la justice résonne plus fort — tandis que les bombes continuent de tomber.